vendredi 26 novembre 2010

JOURNÉE D’ACTION:APPUYEZ LES ALGONQUINS DU LAC BARRIÈRE


POUR QUE LE CANADA RESPECTE LE GOUVERNEMENT TRADITIONEL DU LAC BARRIÈRE ET LES ACCORDS ENVIRONNEMENTAUX INNOVATEURS


MIDI, LUNDI 13 DÉCEMBRE, SUR LA COLLINE DU PARLEMENT



TÉLÉCHARGER LE TRACT ET AIDER AVEC LE MOBILISATION POUR LE 13 DECEMBRE! : AVANT ET DEVANT


FACEBOOK ÉVÉNEMENTS: http://www.facebook.com/event.php?eid=168050586559745&num_event_invites=0#!/event.php?eid=168050586559745


::TRANSPORT::

Pour ceux de Montréal, embarquez sans frais dans un autobus pour le rassemblement à Ottawa!

Départ à 9h00 de Mackay et Maisonneuve (Metro Guy-Concordia)

Retour en fin d’après-midi.

POUR RÉSERVEZ VOTRE PLACE, contactez barrierelakesolidarity@gmail.com nous donnant votre nom et numéro de téléphone.


Et si un régime étranger était en train de détruire votre système de gouvernement pour ensuite venir voler vos ressources et vous empêcher de protéger l’environnement de votre terre natale ? Voilà ce que le gouvernement d’Harper et les bureaucrates fédéraux sont en train de faire à la Première nation du Lac Barrière.


Depuis plus de deux décennies, les Algonquins du Lac Barrière démontrent un leadership environnemental au reste du Canada, faisant campagne pour arrêter les coupes à blancs destructives et pour implémenter un plan de développement durable dans leur terre native du nord-ouest du Québec.


Cependant, des compagnies de foresteries multinationales et des bureaucrates gouvernementaux refusent d’honorer les accords qui ont été signé avec le Lac Barrière. À tout bout de champs, ils tentent de saper les efforts de cette petite communauté, une des plus pauvres dans le pays, et de prévenir que cette communauté implémente et réalise sa vision pour la protection et la bonne intendance des forêts.


Cette histoire de David contre Goliath vient de se tordre encore plus: le gouvernement conservateur et les bureaucrates des Affaires Indiennes et du Nord Canada sont en train d’intervenir dans les affaires internes du Lac Barrière, utilisant la section 74 de la Loi sur les Indiens pour forcément d’assimiler et de détruire le gouvernement traditionnel de la communauté – un gouvernement traditionnel qui existe depuis d’incalculables générations et qui maintient leur mode de vide de chasseurs et de respect pour l’environnement.


Mené par la jeunesse du Lac Barrière, la grande majorité de la communauté lutte à préserver leur gouvernement traditionnel, afin de continuer à protéger leur basin versant, leurs forêts, leur faune et leurs terres pour toutes les générations futures, autochtones et non-autochtones.

Le gouvernement Harper viole la constitution Canadienne, qui protégé le droit autochtone à l’autonomie. Cela viole aussi la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, même si ce gouvernement affirme maintenant l’avoir endossé.


Joignez vous aux Algonquins du Lac Barrière sur la colline du Parlement ! Venez porter appui à leur demande du rejet de l’utilisation de la Loi 74 et pour le respect de leur gouvernement traditionnel et de leur vision de la protection environnementale au gouvernement Harper et aux bureaucrates fédéraux !


Pour plus d’informatin, visitez le site web: www.barrierelakesolidarity.org


:: MISE EN CONTEXTE: COMMENT LE GOUVERNEMENT EST-IL EN TRAIN DE DÉTRUIRE LE GOUVERNEMENT TRADITIONNEL DU LAC BARRIÈRE ? ET POURQUOI? ::


Le gouvernement a utilise une section archaïque de la Loi sur les Indiens, section 74, pour imposer de manière unilatérale un système de gouvernement différent à la première nation du Lac Barrière.


Le gouvernement traditionnel du Lac Barrière, ouvert aux membres de la communauté qui ont une connexion à la terre, et où les Aînés guident les dirigeants potentiels et assurent la sauvegarde de leurs coutumes, assure que les membres de la communauté maintiennent leur lien sacré à la terre et leur mode de vie de chasseurs. Le système de électoral de conseil de bande que le gouvernement Harper a imposé détruit le lien sacré de gouvernance que la communauté a avec la terre. En brisant la connexion que le Lac Barrière a avec la terre, les gouvernements du Québec et du Canada espèrent échapper à leur violation d’accords environnementaux innovateurs et de la coupe à blanc illégale du territoire traditionnel du Lac Barrière.


La grande majorité des membres de la communauté veulent protéger leur système de gouvernance traditionnel, mais les bureaucrates des Affaires indiennes et du Nord du Canada sont en train de répandre de la désinformation, prétendant qu’ils ne sont qu’un petit groupe.


Durant l’été, la bureaucratie des Affaires indiennes et du Nord du Canada a conduit un cadre électoral illégal, imposé par la Sûreté du Québec, afin d’amener un nouveau système démocratique à la communauté. Moins d’une douzaine de scrutins furent envoyés pour nominer des candidats pour un Chef et un Conseil de la Loi sur les Indiens, qui furent par la suite siégé par acclamation. Entre temps, plus de 200 membres de la communauté avaient signés une résolution rejetant ce cadre! Cela représente la majorité des membres de la communauté qui sont éligibles à participer à leur cadre électoral.


Même le chef acclamé a résigné en guise de protestation, refusant de briser les rangs avec la majorité de la communauté. Cependant, quatres « faux » conseillers de bande sans appui de la communauté ont depuis pris des décisions illégales de la part de la communauté du Lac Barrière. Faisant navettes entre des réunions secrètes avec des compagnies forestières et des représentants du gouvernement, ces conseillers sont usinés par le gouvernement pour dérailler les accords environnementaux sans précédents du Lac Barrière et pour faciliter la coupe à blanc illégale.

Les jeunes de la communauté mènent le mouvement pour la protection de leur gouvernement traditionnel et pour guérir et surpasser les divisions qui furent crées lorsque les bureaucrates gouvernementaux se sont immiscés à l’intérieur de la communauté.


Ils demandent que le gouvernement Harper cancelle l’imposition du conseil de bande de la section 74 de la Loi sur les Indiens à la communauté du Lac Barrière, et qu’il respecte leur droit d’élire leurs dirigeants selon leur système traditionnel de gouvernement.


jeudi 12 août 2010

Le gouvernement du Canada et du Québec sont imposer le processus électoral avec le soutien de la police!

SVP, prenez CINQ MINUTES de votre temps pour EXIGER que le gouvernement federal respect la gouvernance traditionnelle des Algonquins du Lac Barrière!

Le gouvernement du Canada et du Québec vont imposer le processus électoral avec le soutien de la police!

ENVOYEZ UN COURRIEL PAR L’INTERMÉDIAIRE DU SITE INTERNET DE SOLIDARITÉ LAC BARRIÈRE au Ministre des Affaires indiennes et du Nord, John Duncan, et Directeur général régional (Québec) au Ministre des Affaires indiennes, Pierre Nepton :
http://barrierelakesolidarity.blogspot.com/2007/10/blog-post.html

APPELEZ John Duncan : 1-800-667-280, 613-992-2503,

---> Si vous êtez membre d'un groupe, svp ENDOSSEZ cette campaigne

Si vous pouvez aidez en donnant de l'$ pour les coûts de cette campagne, svp contactez-nous : barrierelakesolidarity@gmail.com


POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Jeudi, le 12 août 2010

Les Algonquins de Lac Barrière boycotteront et manifesteront contre la tenue d’une assemblée de mise en candidature face à des menaces d'arrestation par la police du Québec

Kitiganik, Lac Rapide, territoire algonquin / - Le 12 août, les Algonquins de Lac Barrière boycotteront et manifesteront contre la tenue d’une assemblée de mise en candidature que tente de leur imposer le gouvernement canadien.

La Sureté du Québec protègera les bureaux de vote sur la réserve et a menacé d’arrêter quiconque tente d’interférer ou de bloquer la route d’accès à la réserve.

Après que la communauté a pacifiquement bloqué l’entrée a la réserve à un préposé aux élections, le 22 juillet dernier, le Département des Affaires indiennes à reschédulé l’assemblée de mise en candidature au 12 août.

« Les gouvernements canadien et québécois traitent honteusement notre communauté comme des criminels par ce que nous défendons notre droit inhérent de nous gouverner selon nos coutumes, » dit Tony Wawatie, un porte-parole de la communauté. « Le Gouvernement tente inconstitutionnellement d’abolir notre système de gouvernance coutumier, malgré le fait qu’une grande majorité des membres de la communauté s’y oppose. »

Un préposé aux élections cherche des nominations pour un Chef et Conseil qui se présenteraient aux élections que le Département des Affaires indiennes a prévue pour le 26 septembre, 2010. La communauté de Lac Barrière est l'une des rares Premières nations qui n'ont jamais été soumises au système électoral imposé par la Loi sur les Indiens, continuant au lieu de se gouverner selon leurs propres règles coutumières établies depuis la nuit des temps.

Durant l’assemblée de mise en candidature du 22 juillet, seuls 4 candidatures ont été envoyés par la poste, de plus ils proviennent tous d’individus qui n’ont jamais vécu sur le territoire traditionnel de Lac Barrière.

« Le gouvernement canadien maintient qu’il impose les élections de la Loi sur les Indiens par ce que notre système traditionnel ne fonctionne pas, mais dans les faits c’est l’ingérence du gouvernement dans nos affaires internes qui a déstabilisé notre gouvernance », dit Marylynn Poucachiche, autre porte-parole de la communauté. « La vraie raison qu’ils imposent des élections de conseil de bande est qu’ils cherchent a couper nos liens avec la terre, qui est maintenu par notre système politique traditionnel. Ils ne veulent pas faire face à un leadership fort, qui exige que le gouvernement honore les accords signés concernant l'exploitation de nos terres et de nos ressources ».

Le droit inhérent de la communauté de Lac Barrière à son propre système de gouvernance coutumier est protégé par l’article 35 de la constitution canadienne ainsi que dans la Déclaration des Nations Unies 
sur les droits des peuples autochtones. Un rapport publié en mai 2010 par le Comité sénatorial permanent des peuples autochtones affirme que les Premières nations ont le droit de garder le contrôle sur leurs affaires internes et sont libres de mettre en œuvre leur vision de la gouvernance.

L’Assemblée des Premières Nations a unanimement adopté une résolution condamnant le gouvernement et demandant que le Ministre des Affaires indiennes annule les élections imposées par la section 74 de la Loi sur les Indiens.

Selon le code coutumier de gouvernance de la communauté de Lac Barrière, n’ont droit de participer au processus de sélection des dirigeants que les membres de la bande qui habitent sur le territoire traditionnel et qui détiennent un savoir et un lien avec la terre.

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jeudi 22 juillet 2010

EXIGER que le gouvernement federal respect la gouvernance traditionnelle des Algonquins du Lac Barrière!

SVP, prenez CINQ MINUTES de votre temps pour EXIGER que le gouvernement federal respect la gouvernance traditionnelle des Algonquins du Lac Barrière!

ENVOYEZ UN COURRIEL PAR L’INTERMÉDIAIRE DU SITE INTERNET DE SOLIDARITÉ LAC BARRIÈRE au Ministre des Affaires indiennes et du Nord, Chuck Strahl, et Directeur général régional (Québec) au Ministre des Affaires indiennes, Pierre Nepton :
http://barrierelakesolidarity.blogspot.com/2007/10/blog-post.html


APPELEZ Chuck Strahl : (604) 847-9711, 1-800-667-2808


---> Si vous êtez membre d'un groupe, svp ENDOSSEZ cette campaigne

Si vous pouvez aidez en donnant de l'$ pour les coûts de cette campagne, svp contactez-nous : barrierelakesolidarity@gmail.com



POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Jeudi, le 22 juillet 2010
Les Algonquins de Lac Barrière organisent un barrage à résister pacifiquement à l’assaut inconstitutionnel que subit leur système de gouvernance traditionnel

Kitiganik, Lac Rapide, territoire algonquin / - Les membres de la communauté de Lac Barrière promettent de bloquer pacifiquement la tenue, dans la réserve, d’une assemblée de mise en candidature en vertu de la Loi sur les Indiens, le jeudi 22 juillet.

Un préposé aux élections veut implanter le plan du gouvernement fédéral qui vise l’abolition du système de gouvernance traditionnel de la communauté de Lac Barrière en tenant des assemblées de mise en candidature menant à une élection au sein de la bande imposée par le gouvernement sous la Loi sur les Indiens. La communauté de Lac Barrière est l'une des rares Premières nations qui n'ont jamais été soumises au système électoral imposé par la Loi sur les Indiens, continuant au lieu de se gouverner selon leurs propres règles coutumières établies depuis la nuit des temps.

L’Assemblée des Premières Nations a adopté une résolution d’urgence qui soutient la communauté de Lac Barrière et qui condamne le Ministre des Affaires indiennes, Chuck Strahl, lors de leur assemblée générale qui a eu lieu à Winnipeg ce mercredi.

« Nous rejetons la tentative inconstitutionnelle du ministre d’assimiler nos coutumes en matière de gouvernance en nous imposant un système étranger. La communauté, unanimement, est en faveur de continuer à fonctionner selon nos coutumes », dit Marylynn Poucachiche, une porte-parole de la communauté de Lac Barrière. « Puisque le gouvernement ne respecte pas ses responsabilités constitutionnelles ni les vœux de la communauté, nous n’avons d’autre choix que de nous tourner vers la désobéissance civile. Nous allons empêcher pacifiquement la tenue de l’ assemblée de mise en candidature et nous exigeons que le gouvernement fédéral cesse et se désiste de sa tentative d’abolir nos coutumes. Le gouvernement enfreint la loi, mais nous la protégeons à travers nos actions. »

Le droit inhérent de la communauté de Lac Barrière à son propre système de gouvernance coutumier est protégé par l’article 35 de la constitution canadienne. Un rapport publié en mai 2010 par le Comité sénatorial permanent des peuples autochtones affirme que les Premières nations ont le droit de garder le contrôle sur leurs affaires internes et sont libres de mettre en œuvre leur vision de la gouvernance.

« Le gouvernement canadien tente l'assimilation par la force de nos coutumes afin de couper nos liens avec la terre, liens qui sont au cœur de notre système de gouvernance », dit Tony Wawatie, un autre porte-parole de la communauté de Lac Barrière. « Ils ne veulent pas faire face à un leadership fort, choisi par les membres des communautés qui vivent sur la terre, qui exige que les gouvernements fédéral et du Québec mettent en oeuvre les accords préexistants concernant l'exploitation de nos terres et de nos ressources ».

Selon le code coutumier de gouvernance de la communauté de Lac Barrière, n’ont droit de participer au processus de sélection des dirigeants que les membres de la bande qui habitent sur le territoire traditionnel et qui détiennent un savoir et un lien avec la terre. Cette manière de fonctionner nous assure que seules les personnes qui ont a cœur la terre et son bien-être peuvent être choisies comme dirigeants. Toutefois, des élections de bande en vertu de la Loi sur les Indiens ouvriraient la porte à l’élection d’individus inscrits au registre de la bande qui n’habitent pas le territoire de la communauté.

Le gouvernement fédéral a légèrement repoussé la date des élections en vertu de la Loi sur les Indiens, en annonçant qu’elles auraient lieu le 8 septembre 2010.

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Contacts medias :
Michel Thusky, porte-parole : 819 – 435 – 2171

jeudi 10 juin 2010

Le ministre fédéral Strahl tente d'assimiler par la force le gouvernement algonquin traditionnel de Lac Barrière afin de rendre inopérants les accords

Mercredi, le 9 juin 2010

Kitiganik, Lac Rapide, territoire algonquin // - Les membres des communautés du Lac Barrière se sont unis pour s'opposer à la tentative du Ministre des affaires indiennes Chuck Stahl de supprimer de façon unilatérale le système de gouvernance traditionnel de Lac Barrière. Un grand nombre de jeunes de Lac Barrière et d'autres membres de la communauté iront manifester à Ottawa le 15 juin prochain.

La communauté de Lac Barrière est l'une des rares premières nations qui n'ont jamais été soumises au système électoral imposé par la Loi sur les Indiens, continuant au lieu de se gouverner selon leurs propres règles coutumières.

« La tentative du ministre d'assimiler de force nos coutumes en utilisant l'article 74 de la Loi sur les Indiens est une violation de nos droits inhérents et ancestraux reconnus par traité, et qui sont protégés par la constitution canadienne, et est une violation de nombreux articles de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, qu'approuvera le gouvernement canadien affirme le premier ministre Harper » dit Norman Matchewan, un porte-parole de la communauté de Lac Barrière.

La décision du ministre est aussi en contradiction d'une récente décision de la Cour fédérale relative à la dirigeance de lac Barriere. Le 17 février 2010, le juge Robert Mainville de la Cour fédérale a conclu dans la cause de Ratt v. Matchewan que la communauté de Lac Barriere peut « choisir leurs dirigeants conformément à leurs coutumes sans être entravée par les conditions ou exigences que le ministre peut juger appropriées ». Conformément aux recommandations du juge, les membres de la communauté de Lac Barriere ont créé un groupe de travail interne pour réconcilier les différences, et revoir leur code coutumier de gouvernance.

« Le gouvernement canadien tente l'assimilation par la force de nos coutumes afin de couper nos liens avec la terre, liens qui sont au cœur de notre système de gouvernance» dit Tony Wawatie, un porte-parole de la communauté de Lac Barriere. « Ils ne veulent pas faire face à un leadership fort, choisi par les membres des communautés qui vivent sur la terre, qui exige que les gouvernements fédéral et du Québec mettent en oeuvre des accords concernant l'exploitation de nos terres et de nos ressources. »

Le Canada et le Québec refusent de mettre en application des accords contraignants qui remontent à l'accord trilatéral de 1991, un accord de développement durable historique loué par les Nations Unies et la Commission royale sur les peuples autochtones. Le Canada a été en violation de l'accord depuis 2001. Le Québec viole l'accord en refusant de mettre en œuvre les recommandations conjointes datant de 2006 faites par deux anciens ministres du cabinet québécois, John Ciaccia, représentant spécial de Québec, et Clifford Lincoln, représentant spécial de Lac Barrière. Les recommandations de 2006 incluent l'octroi au Lac Barrière d'une part de 1,5 million de dollars des revenus de ressources de 100 millions de dollars qui sortent de leur territoire chaque année, ainsi que des plans pour harmoniser les activités d'exploitation forestière commerciales avec les méthodes traditionnelles d'utilisation de leurs terres des Algonquins.

Le Québec vient d'émettre à des compagnies forestières des permis de coupe dans le territoire traditionnel de Lac Barrière, tout en refusant de respecter les stipulations de l'accord trilatéral de 1991.

« Le Québec tire profit de la dispute avec le gouvernement fédéral sur la méthode de dirigeance pour casser les accords déjà signés et permettre aux entreprises forestières de faire de la coupe illégale sur notre territoire » a déclaré Tony Wawatie. « Mais les membres de la communauté et nos jeunes ont l'intention de défendre nos droits pour le plus grand bien de notre génération et des générations à venir ».

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Contacts avec les médias:

Tony Wawatie, porte-parole de la communauté: 819-860-4121