lundi 29 septembre 2008

Avis aux Medias: Lac Barrière ralentiront le trafic sur la 117 pour le journée nationale de mobilisation politique

Lundi, 29 Septembre, 2008



Lac Barrière ralentiront le trafic sur la 117: pression exercée sur le député Lawrence Cannon et le gouvernement Conservateur de respecter les accords et coutumes de gouvernance.


Kitiganik/Lac Rapide, Territoire Algonquin /- Pour le journée nationale de mobilisation politique, à 13:30, les Algonquins du Lac Barrière ralentiront le trafic sur la 117 pour distribué des pamphlets et établiront la conscience au sujet des violations de leurs droites par le gouvernement Conservateur.



<> a déclaré Norman Matchewan, une porte-parole jeunesse du Lac Barriere.

Ils veulent aussi que le gouvernement du Canada mette en vigueur l'accord trilatéral, un accord de développement durable qui a été applaudi au plan international et signé par la communauté du Lac Barrière et le gouvernement fédéral en 1991. Le gouvernement du Canadaa abandonné l'entente en 2001.

Pour résoudre la situation la communauté du Lac Barrière a demandé au gouvernement canadien d'envoyer des observateurs comme témoins de la sélection de nouveaux chefs, en accord avec le Code Coutumier de Gouvernance du Lac Barrière, et enbonne foi, en reconnaître les résultats.

Contacts médiatiques :

Norman Matchewan , jeune porte-parole des Algonquins du Lac Barrière (en anglais) : 819 - 435 - 2171

Michel Thusky, porte-parole des Algonquins du Lac Barrière : 819 - 435 - 2171

Lawrence Cannon et lac Barriere

*pour les photos cliquez ici

Barriere Lake's Response to Federal Conservative MP, Lawrence Cannon's Message in Le Droit


Norman Matchewan
Septembre 26

Les commentaires de Lawrence Cannon sur les Algonquins du Lac Barrière ne sont que des manoeuvres pour nous dénigrer. Son assistante suggère que nous sommes des alcooliques; maintenant M. Cannon qualifie la majorité des membres de la communauté de "dissidents". Peut-on s'attendre à d'autres commentaires racistes provenant de son bureau?

Notre relation avec le gouvernement fédéral se définit par des promesses rompues et leur ingérence dans nos affaires internes. En 1991, Lac Barrière signaient une entente trilatérale historique avec le Canada et le Québec qui assurait le développement durable de nos territoires traditionnels - ce projet environnemental obtenait la désignation d'"innovateur" des Nations Unies.

Toutefois, en 1996, le gouvernement fédéral essaya de dérouter l'accord en remplaçant notre chef-élu et son conseil avec une groupe minoritaire qui eux, délaissèrent l'entente. L'ancien depute libéral provincial Michel Gratton dénonça l'action: "Cette décision unilatérale de remplacer le chef et son conseil", avait-il écrit, "va à l'encontre de tous les principes démocratiques".

En 1997, M. le juge Réjean Paul de la Cour Supérieure du Québec conclut une résolution qui réétablissait le chef légitime et son conseil et renouvela l'accord trilatéral. Pour empêcher toute ingérence future, Paul aida à codifier nos coutumes de sélection du leadership en un code électoral coutumier que le gouvernement promit de respecter.

L'habitude est une seconde nature. En 2001, le gouvernement se retire de l'entente trilatérale et favorise certains membres de la communauté qui s'opposaient à notre leadership légitime. Paul arbitre encore en 2007 et conclut que l'opposition venait d'une "très minorité" qui "n'est pas celle prescrite au code electoral coutumier."

Cependant, quand ce même groupe minoritaire organisa une présumée nouvelle élection en janvier 2008, les élus fûrent immédiatement reconnus par le gouvernement fédéral. Au tribunal, nous avons forcé le gouvernement à faire paraître le rapport d'un observateur, utilisé pour supporter l'approbation des élus de janvier 2008: le rapport précisait qu'il n'y avait aucune "garantie" que le code électoral coutumier fut respecté. Encore une fois, le gouvernement lance les principes démocratiques au vent en ne respectant pas nos coutumes ni les désirs de notre peuple. Et Lawrence Cannon a le culot de qualifier une forte majoritè de nos membres de "dissidents"!

Pour résoudre cette crise, nous sommes pris à participer à un nouveau processus de sélection du leadership selon notre code électoral coutumier: nous demandons seulement que le gouvernement fédéral nomme des observateurs, reconnaisse les résultats et respecte nos ententes.

mercredi 24 septembre 2008

Avis aux médias : Les Algonquins du Lac Barrière manifesteront lors du débat des candidats « L’économie de Pontiac » et leur demanderont de se concent

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Mercredi, le 24 septembre, 2008

Les Algonquins du Lac Barrière demandent que le débat sur l'économie de Pontiac n'exclue pas leurs malheurs économiques: pression exercée sur le député Lawrence Cannon de respecter les accords et coutumes de gouvernance.

Kitiganik/Lac Rapide, Territoire Algonquin / – À 19h30, à Campbell's Bay Québec, les Algonquins du Lac Barrière manifesteront lors d'un débat politique entre candidats.

Norman Matchewan, jeune porte-parole des Algonquins du Lac Barrière affirme que « L'économie de Pontiac dépend largement sur les ressources naturelles de notre peuple tout en nous excluant d'en bénéficier. Le gouvernement et les corporations retirent $100 millions de dollars à chaque année de notre territoire sans qu'on ait un sou. Les accords que le gouvernement refuse de respecter nous permettraient de participer à l'économie régionale et de partager ces ressources naturelles ».

Les Algonquins du Lac Barrière vivent sur une réserve de 59 acres à 350 kilomètres au nord d'Ottawa, dans des maisons surpeuplées et insalubres, qui ont été condamnées par Santé Canada. Le taux de chômage se situe entre 80% et 90%, et la communauté dépend de génératrices au diesel pour s'approvisionner en électricité. Malgré ces conditions, ils ont maintenu leur langue, leur culture et leur système coutumier de gouvernance.

Ils veulent que le gouvernement du Canada mette en vigueur l'accord trilatéral, un accord de développement durable qui a été applaudi au plan international et signé par la communauté du Lac Barrière et le gouvernement fédéral en 1991. Le gouvernement du Canada a abandonné l'entente en 2001.

Selon Michel Thusky, porte-parole pour les Algonquins du Lac Barrière, « Le gouvernement fédéral est en violation de la constitution canadienne, dont des standards minimaux avaient été établis dans une déclaration officielle des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, en ne respectant pas les accords conclus et en s'impliquant dans nos coutumes de gouvernance. M. Cannon se doit de respecter les revendications des Algonquins du Lac Barrière et les autres candidats devraient aussi les soutenir s'ils veulent démontrer leur respect envers les droits des Premières Nations ».

Contacts médiatiques :

Norman Matchewan , jeune porte-parole des Algonquins du Lac Barrière (en anglais) : 819 - 334 - 0411

Michel Thusky, porte-parole des Algonquins du Lac Barrière : 819 - 435 - 2171

Marylynn Poucachiche, porte-parole des Algonquins du Lac Barrière (en anglais) : 819 - 435 - 2142

mardi 23 septembre 2008

Avis Aux Medias: Le députe conservateur Lawrence Cannon décline la demande urgente des Algonquins du Lac Barrière

Pour diffusion immédiate

Le 19 septembre 2008


Après les insultes raciales proférées à l'endroit du'un jeune porte-parole Algonquin de la part d'un member de son personnel, le Ministre avise les Algonquins du Lac Barrière d'attendre la fin des élections pour que le Gouvernement s'adresse à leurs urgents demandes : La communauté ont donc décidé de continuer leurs pressions sur lui durant les élections.

(Lac Rapide, Territoire Algonquin) / -- Le député Lawrence Cannon a tenu une brève réunion hier avec des représentants du Lac Barrieré a Low, Québec, mais le porte-parole des jeunes Algonquin, Norman Matchewan, a exprimé de doutes quant au respect de Cannon envers la communauté.

<< Il nous a dit qu'il n'avait pas les temps de s'assurer que le gouvernement fédérale puisse accepter les demandes raisonnables que nous essayons depuis de années à lui transmettre ­– soit que le gouvernement respecte les ententes signées avec nous, cesse de façon non-démocratique de souteni un Chef et un Conseil illégitimes dans notre communauté, nommes des observatuers pour vérifier une re-sélection de notre leadership et respecte le resultat de celle-ci, afin de résondre le chaos crée par le gouvernement lui-même>> a déclaré Norman Matchewan, un enseignant de la communauté et policier à temps partiel, lequel victime des épithètes racistes de la part d'un membre du personnel de Cannon, mardi à Maniwaki, ce lorsqu'il questionnaire le Ministre au sujet des violations des droits de la communauté par le gourvernment Conservateur.[1]

<> a continué Matchewan. <>

Fois déçus de la manière dout Cannon a donné suite aux remarque racistes, les représentants de la communauté on informé Cannon qu'il ont l'intention de continuer leur campagne afin que le traitement injuste de Lac Barrière par le gouvernment Conservatuer soit en enjeu électoral dans Pontiac. Ils ont aussi rencontré, hier, les candidates Liberal, Bloc Québécois et NPD dans le comté.


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Contactes medias :

Michel Thusky, porte-parole Lac Barrière : 819 – 435 - 2171

Norman Matchewan, porte-parole jeunesse (en englais) : 819 - 334 - 0411


Notes

[1] http://www.aptn.ca/streaming/index.php?wmv=wednesday/six

Le Droit : La grogne envers Cannon se poursuit

Le lundi 22 septembre 2008

La grogne envers Cannon se poursuit

François Pierre Dufault

La communauté algonquine de Lac-Barrière continuera à faire pression sur le ministre Lawrence Cannon.

Elle veut l'obliger à s'occuper de ses enjeux sociaux avant les élections du 14 octobre prochain, a annoncé samedi Norman Matchewan, le porte-parole des jeunes de la réserve autochtone.

Vendredi, le député conservateur de Pontiac s'est entretenu brièvement avec des représentants de Lac-Barrière, à Low, pour leur demander de patienter jusqu'au lendemain du scrutin avant d'obtenir l'aide qu'ils réclament du gouvernement fédéral.

Un délai que la délégation algonquine a du mal à digérer. "Notre communauté est en crise, mais il (M. Cannon) a refusé de même envisager une visite dans notre communauté pour se rendre compte de la situation", a fulminé M. Matchewan, envers qui une employée du bureau de M. Cannon à Maniwaki avait d'ailleurs tenu des propos qu'il a jugés racistes la semaine dernière.

"Tactique de délai"

Mardi dernier, alors que le jeune porte-parole algonquin demandait une rencontre avec M. Cannon, l'employée de celui-ci, Darlene Lannigan, a rétorqué que les Autochtones en obtiendraient une à condition qu'ils se "comportent convenablement" et qu'ils soient "sobres".

"Nous pensons que c'est là une tactique de délai (de M. Cannon) avec l'intention de minimiser le dommage que les commentaires racistes (de Mme Lannigan) ont porté à son image. Il croit sans doute qu'une fois réélu, il pourra nous mette de côté comme il l'a fait pendant les deux dernières années", de renchérir M. Matchewan.

Les Algonquins de Lac-Barrière accusent le gouvernement de Stephen Harper de maintenir un état de chaos dans leur communauté en soutenant un chef et un conseil de bande qu'ils disent illégitimes.

vendredi 19 septembre 2008

Pour diffusion immédiate

Jeudi, le 18 septembre, 2008

L'assistante du député Lawrence Cannon lance des commentaires racistes à un jeune porte-parole algonquin du Lac Barrière. Selon les représentants communautaires, c'est un autre exemple de maltraitance de la part du gouvernement conservateur face aux gens du Lac Barrière.

Kitiganik/Lac Rapide, Territoire algonquin – C'est lors du lancement officiel de la campagne électorale du député Cannon, à Maniwaki Québec, mardi le 16 septembre dernier, que son assistante prononça des propos racistes à un jeune porte-parole du Lac Barrière. Ce jeune homme voulait simplement que Cannon respecte les droits de sa communauté.

Lors d'une discussion avec Norman Matchewan, un enseignant dans la communauté et policier à temps partiel âgé de 25 ans, madame Darlene Lannigan voulut établir les critères pour les prochaines rencontres : « Si vous êtes sage et sobre » disait-elle à M. Matchewan.[1]

« Ces propos condescendants et racistes d'un représentant du député démontrent encore le manque de respect du gouvernement conservateur envers notre communauté » dénonce M. Matchewan.

Madame Lannigan poursuit en disant que « les problèmes de la communauté se résumaient en trop de drogues, d'alcool, d'inceste et de violence ».

M. Matchewan réplique que le gouvernement essaie de se dégager d'un accord historique qui nous attribuerait la co-gestion de nos territoires traditionnels et qui améliorerait notre piètre situation économique. Ils veulent nous diviser pour mieux régner. Ils rejettent nos leaders légitimes, notre Chef et son conseil et acceptent des individus qui n'ont pas l'appui majoritaire de la communauté.

Le bureau de M. Cannon a émit un communiqué mercredi affirmant que les commentaires étaient lancés dans un contexte difficile.

D'après M. Matchewan, « rien ne justifie le racisme ». Aussi, le contexte n'était pas difficile, on demandait simplement à M. Cannon de respecter ses promesses.

À Maniwaki, le 9 août 2007, alors qu'il s'adressait à une foule, le ministre Cannon annonçait : « Le gouvernement est résolu à respecterses obligations légales envers les Premières Nations et il reconnaîtque leurs droits doivent êtres respectés et maintenus. » [2]

Le 10 Mars 2008, pour la troisième fois en 12 ans, le gouvernement du Canada s'est immiscé dans la gouvernance interne du Lac Barrière. Il a annulé la reconnaissance du Chef et Conseil coutumier soutenu par la majorité de la communauté et a mandaté un groupe qui, selon le Conseil des aînés de Lac Barrière, n'a pas été choisi dans le respect de leur Code de Gouvernance coutumier. Pour résoudre la situation la communauté du Lac Barrière a demandé au gouvernement canadien d'envoyer des observateurs comme témoins de la sélection de nouveaux chefs et enbonne foi, en reconnaître les résultats.

Ils veulent aussi que le gouvernement du Canada mette en vigueur l'accord trilatéral, un accord de développement durable qui a été applaudi au plan international et signé par la communauté du Lac Barrière et le gouvernement fédéral en 1991. Le gouvernement du Canadaa abandonné l'entente en 2001.

« Nous avons écrit des lettres à Cannon, informé ses assistants, fait du piquetage devant son bureau de circonscription à Maniwaki, tenu un sit-in à son bureau de Buckingham et manifesté pendant plusieurs jours devant les bureaux du Ministère des transports à Ottawa », à dit Norman Matchewan, un porte-parole pour le Lac Barrière. « Ils n'a même pas répondu une seule fois, ce qui nous fait croire qu'il n'a aucune intention de respecter les droits des Premières Nations ».

Les représentants du Lac Barrière auront des rencontres cette semaine dans la circonscription de Pontiac avec les candidats du NPD, du BlocQuébécois et du Parti Libéral afin de porter à leur attention les violations de droits et augmenter l'appui pour leurs demandes.

Le Secrétariat de la nation algonquine, un conseil de bande de trois communautés Algonquines dont celle de Lac Barrière, continue de reconnaître et de travailler avec Benjamin Nottaway, le Chef destitué, et son Conseil. À travers le pays, plus de trente groupes environnementaux et de droits sociaux ont appuyé les demandes de la communauté du Lac Barrière.

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Contacts media:

Michel Thusky, porte-parole Lac Barrière : 819 - 435-2171, 819 -334 - 0411


Notes

[1] http://www.aptn.ca/streaming/index.php?wmv=wednesday/six

[2] http://www.ainc-inac.gc.ca/nr/spch/2007/kza-eng.asp

[3] http://barrierelakesolidarity.blogspot.com/2008/03/mission.html

mercredi 17 septembre 2008

AVIS AUX MEDIAS

16 septembre, 2008

Les algonquins du Lac Barrière se lancent en campagne contre Lawrence Cannon



Kitiganik/Lac Rapide, Territoire Algonquin – Dans la cadre de la campagne électorale fédérale, les Algonquins du Lac Barrière vont lancer une campagne dans la circonscription de Pontiac pour chercher des appuis et demander que l'actuel député et Ministre Lawrence Cannon mette en place ses promesses.



Le 10 Mars 2008, pour la troisième fois en 12 ans, le gouvernement du Canada s'est immiscé dans la gouvernance interne du Lac Barrière. Il a annulé la reconnaissance du Chef et Conseil coutumier soutenu par la majorité de la communauté et a mandaté un groupe qui, selon le Conseil des aînés de Lac Barrière, n'a pas été choisi dans le respect de leur Code de Gouvernance coutumier. Pour résoudre la situation la communauté du Lac Barrière a demandé au gouvernement canadien d'envoyer des observateurs comme témoins de la sélection de nouveaux chefs et en bonne foi, en reconnaître les résultats.



Ils veulent aussi que le gouvernement du Canada mette en vigueur l'accord trilatéral, un accord de développement durable qui a été applaudi au plan international et signé par la communauté du Lac Barrière et le gouvernement fédéral en 1991. Le gouvernement du Canada a abandonné l'entente en 2001.



« Nous avons écrit des lettres à Cannon, informé ses assistants, fait du piquetage devant son bureau de circonscription à Maniwaki, tenu un sit-in à son bureau de Buckingham et manifesté pendant plusieurs jours devant les bureaux du Ministère des transports à Ottawa », à dit Norman Matchewan, un porte-parole pour le Lac Barrière. « Ils n'a même pas répondu une seule fois, ce qui nous fait croire qu'il n'a aucune intention de respecter les droits des Premières Nations ».



À Maniwaki, le 9 août 2007, alors qu'il s'adressait à une foule, le ministre Cannon annonçait : « Le gouvernement est résolu à respecter ses obligations légales envers les Premières Nations et il reconnaît que leurs droits doivent êtres respectés et maintenus. »

« Nous démontrons », continuait Cannon, « les avantages de tenir, dans un esprit de coopération, des négociations qui nous permettent de résoudre des griefs de longue date sans avoir recours aux tribunaux. Nous croyons fermement que les règlements négociés permettent de mettre fin à des litiges d'une façon acceptable et profitable pour toutes les parties. » [1]

« De fait, contrairement à ses déclarations publiques, Cannon préfère nous forcer à endurer des difficultés et aller en cour plutôt que d'encourager son gouvernement à répondre à nos demandes qui sont raisonnables, à agir de bonne foi et en respect de la loi », dit Michel Thusky, porte-parole pour le Lac Barrière. « En tant que membre important du cabinet qui représente la circonscription dans laquelle se trouve le Lac Barrière, Cannon pourrait assurer le respect de son gouvernement pour nos coutumes de chefferie, ainsi que les accords qui ont été signés avec notre communauté ».



« Que ce soit à son bureau ou sur sa route de campagne, ce qui importe c'est que notre message se rende à lui », a ajouté Marylynn Poucachiche, une autre porte-parole du Lac Barrière. « Nous lui demanderons des comptes sur sa circonscription ».



Les représentants du Lac Barrière auront des rencontres cette semaine dans la circonscription de Pontiac avec les candidats du NPD, du Bloc Québécois et du Parti Libéral afin de porter à leur attention les violations de droits et augmenter l'appui pour leurs demandes.



Le Secrétariat de la nation algonquine, un conseil de bande de trois communautés Algonquines dont celle de Lac Barrière, continue de reconnaître et de travailler avec Benjamin Nottaway, le Chef destitué, et son Conseil. À travers le pays, plus de trente groupes environnementaux et de droits sociaux ont appuyé les demandes de la communauté du Lac Barrière.



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Contacts media:

Michel Thusky, porte-parole Lac Barrière (francais): (819) 627 - 3628, (613) 296 - 0110

Notes :

[1] http://www.ainc-inac.gc.ca/nr/spch/2007/kza-eng.asp

[2] http://barrierelakesolidarity.blogspot.com/2008/03/mission.html